Horreur & contemporain
286 pages chez J’ai Lu
Résumé :
Perversion des âmes et poésie du macabre au service d’une des fictions les plus noires jamais publiées sur les serial killers : sans concession, choquante, répulsive. Un roman fascinant et extrémiste. Un livre violent dont aucun lecteur ne sortira indemne.
Avis :
Poppy est un auteur qui ne craint rien ni personne quand on voit quels thèmes il choisit : entre psychopathes, drogues et homosexuels dévergondés, nos yeux en prennent plein la vue et notre estomac, lui, fiche le camp…
J’ai aimé que, via le milieu où l’on va évoluer, il aborde un second fléau de notre société bien différent des tueurs en série, c’est intelligent de l’y insérer et percutant.
L’intrigue n’est pas claire ni directe, on ne sait pas vraiment vers quoi on va même si on attend avec impatience une rencontre qui pourrait être phénoménale et qui va l’être encore plus que dans nos cauchemars les plus fous. Cependant, je déplore un peu le fait qu’elle arrive tardivement.
Les hommes de ce roman sont tous malades, dans tous les sens du terme, et on ne nous épargne aucun ressenti, aucune idée aussi perverse soit-elle, ni même leur mise en œuvre qui laisse dans notre esprit des images indélébiles. Il n’y a rien à dire au niveau de la psychologie, de cette idée de base totalement malsaine, ignoble et pourtant captivante et innovatrice.
Celui dont nous sommes le plus proches, enfin si l’on peut dire… c’est Andrew puisqu’il nous conte son histoire, le départ d’ailleurs de son récit est le moment que j’ai préféré. Il fait preuve d’intelligence et surprend de par ses ressources. L’utilisation du “je” fait de lui notre centre d’attention même si, clairement, nous n’avons bien évidemment rien en commun avec ce sombre personnage.
C’est un roman trash qui a une odeur : il pue la mort par tous ses pores…
Pour le coup, la couverture me donne envie de fuir en courant beurk 🙂
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Comme je te comprends, elle n’est pas très engageante mais elle est en adéquation avec son contenu glauque & trash.
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Coucou !
Spécial, j’aimerais bien le découvrir, mais j’ai un peu peur qu’il ne soit pas véritablement pour moi.
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Coucou!
Très spécial oui et s’adressant à des lecteurs bien avertis, il est sage de ne pas se lancer avec si on est pas certain de son coup.
Bisous.
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coucou,
Pour la LC, voici mon adresse mail : blogdewolkaiw@gmail.com
Bisous, à très bientôt 🙂
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Coucou! 🙂
C’est noté, merci beaucoup. Le mail est parti.
Bisous & à vite.
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Aaah ! Il est dans ma wish ! J’aime beaucoup la couverture et le titre a touché ma curiosité. Me reste à trouver le temps de le lire :p
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J’espère pour toi que lorsque le temps s’offrira à toi pour le lire, tu le trouveras à moindre coût, les exemplaires d’occasion coûtent un rein…
La couverture me répugne un peu, par contre le titre mamma mia ^^
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Mais je le veux encore plus maintenant ! « Un roman qui pue la mort » moi j’achète !
Puis je surkiffe la couverture !
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Ton vœu va être exaucé ^^
Par contre, moi la cover, elle me met un peu dans le mal.
Et là encore plus en le disant vu que du coup je pense aux pigeons dans l’église avec Bing… Joe Hill forever 😉
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Merde meuf, synchro de pensées. J’ai pensé la même chose que toi en voyant la couverture pour la première fois mais du coup, vu que ça m’a rappelé la bombasse Nosfera2, je ne pouvais qu’aimer :D.
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Il n’y a pas à tortiller des fesseps, nous étions faites pour nous rencontrer ❤
Je suis très curieuse quant à ton futur ressenti… En te souhaitant une putain de lecture de la mort qui tue sa mère la dinde de Noël ;D
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